J'ai lu ton bilan !
Plein de choses intéressantes, je comprends mieux notamment pourquoi tu penses que tous les jeux de rôles n'ont pas un propos, et pourquoi tu souhaites qu'ils en aient un. Ta théorie du contenu fictionnel malléable est vraiment passionnante également. Ce sont les deux choses que je retiens en priorité.
En revanche, comme dit Mangelune en commentaire sur le blog de la Cellule, j'ai mes propres opinions, et notamment je ne suis pas pour l'idée de diaboliser les machines à saucisses (quel terme atroce ! je préfère le terme plus neutre de Frédéric Sintes : jeu en posture d'auteur) et je ne les exclus pas de ma définition personnelle du jeu de rôle.
Je suis aussi fier d'être cité. Merci ! Deux petits points à ce sujet : tu sais que Millevaux n'est plus un supplément pirate pour l'Appel de Cthulhu depuis belle lurette ! C'est désormais un univers autonome décliné en trois jeux de rôles : Sombre (c.a.d il y a un supplément consacré à Millevaux pour Sombre, le jeu de Johan Scipion), Inflorenza, Arbre.