Sens (Romaric Briand) a écrit:Quand bien même tous les faits au sujet de Christoph Boeckle seraient décrits rien dans cette description ne permettrait de conclure :
"Christoph Boeckle DESIRE BOIRE DU CIDRE"
Sans me prétendre instruit sur le sujet (au contraire) j'apporterais une touche de pensée matérialiste sur cette phrase de rom (en espérant que cela n'ai pas déjà été fait) à nuancer mes propos sont teint de connaissances floues sur le sujet.
L'un des concepts fondamentaux de la théorie évoqué semble être la différenciation nette entre le MONDE et la VOLONTE, cependant on peut avoir une approche matérialiste du problème et concevoir un modèle ou la VOLONTE ne serait rien de plus qu'un des nombreux éléments généré par le MONDE, la science moderne tend à montrer un parallélisme entre l'esprit (la VOLONTE), son siège dans le MONDE matériel (le cerveau) et les impulsions électriques du cortex cérébral. On ne peut ainsi nier la possibilité d'un rapport (direct ou non) entre la VOLONTE et son siège du MONDE matériel tandis que des éléments tendent à prouver ce possible lien (Amnésie partielle ou totale suite à des chocs cérébraux endommageant le cortex, "maladies" mentales reliés à des schémas électrique connus, ect)
Le problème est donc qu'à partir de là, soit l'on prend le partit de considéré la VOLONTE comme extérieur au MONDE (ne pouvant s'expliquer par le monde donc), c'est une thèse idéaliste dérivant donc de Platon et de ceux qui l'on suivit. Soit l'on considère la VOLONTE comme pouvant s'expliquer par le MONDE (étant généré par lui même) et l'on s'inscrit donc dans une thèse matérialiste dérivant donc de Aristote and cie.
Les questions sont donc sur le fond :
- SENS (le jeu de rôle) prend il un partit prit pour que Sens (l'entité) puise exister ?
- Si oui est il possible de conceptualiser un conflit dans le jeu entre ces deux notions tout d'abord
- Si oui, cela vous semblerait il digne d'intérêt (ou cela ne risque t'il pas d'être un enfoncement de portes ouvertes de la philosophie)