Cela rejoins un peu mon avis. Je trouve que le problème de grosbillisme n'en est pas vraiment un dans Sens. En effet, la véritable adversité n'est pas quelque chose contre lequel les Bugs peuvent se battre physiquement. Du moins pas avant d'être devenus des demi-dieux dans Chaos.
C'est mit en lumière dans Sens Mort, mais à mon avis, c'est déjà présent de Renaissance. Oui, les bugs peuvent tuer les quadrillas. D'ailleurs... les quadrillas de Rebirth n'ont aucune chance contre eux. Ils ne peuvent pas les tuer. Même Graveur n'essaye qu'à moitié. Ils doivent faire peur... mais après quelques affrontements, les bugs doivent se rendre compte qu'ils les dominent. C'est alors qu'arrive la prise de Berlin. Et sa facilité déconcertante.
Pour moi, l'aspect héroique de Sens Rennaissance est déjà tué dans l’œuf. Rennaissance, c'est la découverte de leur force écrasante et totale. Mort, c'est la découverte de l'inutilité de cette force. Parce que le réel affrontement est au delà de cette dimension physique. Un bug peut très bien être invisible et voler... cela ne l’empêche pas d'être aux prises avec Sens. Le monde qui l'entoure lui présentera toujours des difficultés.
En bref, selon moi, il est cohérent que les Bugs soient un peu "Grosbill" en ce qu'ils passer tous les obstacles. Rien ne les arrête... Dans Rennaissance ils doivent se sentir puissants. D'ailleurs, ne sont ils pas immortels?
D'un point de vue plus purement gameplay, ce n'est pas non plus un souci pour moi tant que le maitre de jeu parviens à avoir autant d'imagination que ses joueurs. Un joueur est invisible? Des scanners spéciaux le détectent , ou un ombre-pouvoir dépose de la peinture sur son camouflage... ou il fait simplement du bruit en se déplaçant. Un joueur vole? Les quadrillas aussi, et les drones de l'omicron auront des exemplaires volants.