Voici une fiche de background supplémentaire pour les PJ de Vademecum et quelques descriptions pour les PNJ.
KINGhttps://www.cjoint.com/c/OAxtGU8rFbOKNIGHThttps://www.cjoint.com/c/OAxtHGVvv5OBISHOPhttps://www.cjoint.com/c/OAxtIma281OConcernant Queen, je prévois de lui donner une fiche un peu spéciale.
En effet, lorsque les PJ rencontre Charlie Beck dans l'épisode 1, j'en fais la description:
(chief) Charlie Beck : Homme d’une cinquantaine d’années. Toujours en train de fumer. Son bureau pue le tabac froid. Jamais vu proprement rasé. Toujours une barbe de quelques jours. Blond tend vers le gris. Calvitie naissante. Petit chef ventripotent. Il abuse sur le parfum de luxe que lui offre chaque année sa femme pour Noël. Voix rauque, éraillée (qui monte parfois dans des aigus insupportables). Arbore des cernes grises sous les yeux. Il joue sans cesse avec son briquet zippo, symptôme d’un stress permanent. Il fait du bon travail, est respecté par tous. King et lui sont amis depuis des années. Beck lui doit son poste, car King l’a refusé 8 ans plus tôt, tout comme il a refusé le poste de commander dans la foulée. Le Maire était furieux. Pour son deuxième mandat, Beck a de folles ambitions, cette fois il veut briguer le poste de Maire de Los Angeles. Pour ça, il fera tout pour que son bilan soit positif. Hélas, l’année commence mal. En février, la chasse à l’homme de Christopher Dorner a fait de nombreuses victimes, et la police est accusée de graves bavures.Puis je donne la fiche à
QUEEN. Pleins d'infos qui ne sont pas les siennes hélas. (inspiration Connelly pour les cicatrices aux poings^^)
https://www.cjoint.com/c/OAxtPvHCfAOJohn Drugstore: la quarantaine; il boîte sévèrement depuis une sale embuscade qui l’a laissé sur le carreau il y a 5 ans. Ancien membre des forces spéciales de l'armée, la AIRBORNE, il s’est reconverti dans l’administration du LAPD. Passionné d’armes à feu, il est le gardien de l’armurerie du plus grand commissariat de Los Angeles, le Community Central. Instructeurs et formateurs, il est chargé de superviser l’entraînement des forces de police. Puit de connaissances sans fond, il peut démonter et remonter n’importe quelle arme les yeux fermés. Brun, grand, cheveux courts et bouclés, il entretient méticuleusement sa moustache qui lui donne l’air d’un dangereux dandy. Ses bras arborent d’anciens tatouages gravés sur sa peau jadis lorsque sa vie était trépidante. Toujours vêtu de l’uniforme de police, tiré à quatre épingle, il cabotine à longueur de journée. Même s’il ne paye pas de mine, sa carrure impose tout de même le respect. Il aime l’airsoft et organise des évènement le dimanche avec le personnel. Respecte ceux qui prennent soin de leur arme de service. Il casse souvent les couilles à Charlie Beck pour que lui soit livrer les équipements derniers cris. Il parle peu sur son passé. Une rumeur raconte qu’il serait criblé de médailles, récompensé pour ses exploits et son courage lors d’interventions particulièrement délicates. Sniper émérite, il détient le record de tir longue distance civil enregistré dans cet état. Il rêve d’être un jour appelé sur le terrain. Homme de confiance et certainement pas corrompu par l’Armée Noire ou le Permirus. Il projette de passer les tests pour rejoindre la réserve du SWAT.
INTERVENTION (capacité) peut être l’occasion de le voir surgir à bord d’un hélicoptère ou d’un fourgon blindé.
Colonel Kurt: Homme début soixantaine. Ses cheveux gris sont cachés par un béret vert soigneusement arrimé sur son crâne. Tiré à quatre épingle, son uniforme affiche fièrement une palanquée de médailles. Ses chaussures cirées brillent d’un noir éclatant. Sous son oeil gauche, il arbore une longue cicatrice, stigmates d’une mission secrète au Panama dont Knight essaye d’oublier les horreurs qu’ils ont commises là-bas dans une autre vie. Ses mains ridées affichent quelques chevalières rutilantes. Knight et lui partagent la même, signe de reconnaissance secret inconnu du grand public, celle que portent seulement quelques soldats de la Airborne (Forces Spéciales) triés sur le volet, commune aux anciens membres des Black Ops dirigées par la CIA. Salut militaire de rigueur. Dans l’intimité, il fait une chaleureuse accolade à son camarade et ami Knight. Deux officiers de l'Air Force sont chargés de sa protection, et l’accompagnent au commissariat.
Les Grées:Elle apparaît. Une sorcière de l’Antiquité grecque, incandescente de jeunesse et de beauté. Laissant deviner les formes de son opulente poitrine, son péplos (tunique féminine portée à l’antiquité), drapé avec une grâce souveraine, épouse les contours de son corps avec une fluidité presque surnaturelle; la couleur pourpre et ancienne du tissu contraste avec sa peau blanche presque laiteuse. Un masque de théâtre grec, fait de cire, orné de détails finement ciselés, une œuvre d’art en soi, couvre son visage. Ses yeux brillent à travers les fentes, étincelants d’une malice ancienne, comme deux étoiles brûlantes au coeur d’une nuit sans fin. Sa chevelure est une mer vivante de serpents venimeux. Leurs écailles luisantes et iridescentes se tordent et frémissent sous l’air humide et glacial de la brume fantasmagorique; des créatures aussi belles que fatales, aux yeux reptiliens et aux crocs prêts à frapper. Ces reptiles mortels semblent danser, envoûtants. Comme une extension de sa propre volonté, ils réagissent à chaque mouvement de son esprit. Le parfum enivrant d’herbes rares et de mystères oubliés flotte autour de cette prêtresse antique. Ses pas, silencieux, effleurent le sol comme une promesse de pouvoir et de destruction. Elle incarne l’essence même de l’envoûtement mystique d’une ère antédiluvienne, une beauté parfaite et inquiétante, entre l’immortalité divine et la terreur des sortilèges. Ses épaules sont recouvertes par une longue cape noire et ses cheveux sont occultés par un épais capuchon doté de cordelettes dorées. Sur ses doigts et ses avants-bras, on peut apercevoir des bagues et des bracelets aux formes serpentines, forgés artisanalement dans un matériaux précieux. Enfin, avec exaltation, elle tire une dague de ses amples manches, et se tranche brusquement les veines d’un geste sûr. Son sang gicle et s’écoule un instant avant de s’évaporer en une brume écarlate et toxique. Sous son masque effrayant, la nécromancienne pousse un hurlement cruel et fou avant de s’évanouir dans les ténèbres dont elle est la seule maîtresse.
message retrouvé sur un papier froissé près de son cadavre:Θεϊκοί λάτρεις του Διός Άμμωνα,
Ο Μεγάλος Απατεώνας μπορεί να νικηθεί μόνο περπατώντας δίπλα στον Διάβολο. Το Κελί θα πετύχει εκεί που η μητέρα σας απέτυχε. Φέρτε μας τον Hyni και τα όνειρά σας θα εκπληρωθούν.
Enry War:Enry War est là. D’origine amérindienne, le haut de son visage est peinturluré d’une épaisse substance noire qui dégouline en sillons chaotiques sur ses joues et sa mâchoire. Ses cheveux noirs sont tirés en arrière (hair line au milieu du crâne), deux longues tresses pendent sur chacune de ses épaules. Une plume blanche est accroché à l’une d’entre elles. Il porte un cuir épais à capuche laissé ouvert dont les manches ont été découpé. Torse nu en dessous, on observe d’innombrables tatouages tribaux sur sa peau. Sur ses bras, des cercles en cuivre enserrent sa peau, des scarifications serpentent en suivant la carte de ses veines et artères. Un impressionnant collier en rangées d’os horizontales masque son plexus. Le turquoise de pierres de jade ornent ses bijoux faits d’or. Une arbalète automatique en bandoulière, un carquois de flèches acérées dépasse dans son dos. Deux tomahawks rustiques pendent à sa ceinture en cuir marron Sur chacun d’elle, de vieilles lanières maintiennent les pierres méticuleusement taillées pour trancher. Le son de sa voix est particulier, ses paroles sont teintées de grondements gutturaux étranges. Élancé et musculeux, son langage corporel est celui d’un homme sûr de lui, confiant, et dangereux. Ses gestes, même les plus fugaces, sont précis et calculés, assurément ceux d’un prédateur prêt à bondir sur sa proie pour la mettre à mort. Il affiche en permanence un petit sourire carnassier. Une haine intense cingle son regard profond aux yeux inquisiteurs.
Les parents Kings: afro-américains, entre 70 et 80 ans. Le père travaillait dans l’aviation civil en tain qu’ingénieur, spécialiste de la mécanique des fluides. La mère était prof d’anglais dans un collège réservé aux noirs; elle a finit sa carrière en tant que directrice de l’établissement. La carrière de policier de King fut mal compris au début par ses parents qui lui vouaient de brillantes études. Ils ont fini par comprendre ce qui l’avait animé pour se lancer corps et âmes dans ce métier difficile. Bonne retraite. Le couple vit bien, et habite un quartier bourgeois, dans une grande maison. Il sont amers d’avoir été séparés de leurs petits fils, mais comprennent la situation. King est entièrement responsable des souffrances de son ex-femme. Il est le seul et unique coupable de l’éclatement de son couple. Ses parents ont transformé la chambre de leur fille disparue en autel, un mausolée dédié à sa mémoire. Le reste de la maison, elle, n’affiche absolument aucun souvenir en lien avec Queen, signe que leur douleur est toujours intacte. Le patriarche dort une fois par semaine dans la chambre de sa petite princesse cruellement arrachée à ses parents. La présence de Queen chez eux est un profond bouleversement. Il n’entretenaient plus aucun espoir de retrouver la moindre piste expliquant sa disparition soudaine. Aujourd’hui, même si l’âge de Queen ne correspond pas, ils sont convaincus que c’est elle. Il ne peuvent s’arrêter de la prendre dans leurs bras en sanglotant. C’est une bénédiction! Dieu a enfin répondu à leurs prières incessantes.
Judi Starvation: D’une beauté effarante. Intégralement rasée, le corps recouvert de tatouages extrêmement douteux (serpents, plumes et croix gammées), elle se promène seins nus, prête à sauter à la gorge de celui qui oserait la regarder de travers. Au combat, Judi sait déployer des miracles macabres. Extrêmement dangereuse au corps à corps et sans pitié. Combattante exceptionnelle. Elle a formé de nombreux soldats de l’Armée Noire. Se bat comme The Boss (etre au cac avec elle c'est perdre l'usage de son arme, démontée en 1 sec), et prend un malin plaisir à faire souffrir le plus possible ceux liés au Christ. Face à un civil mourant, elle n’hésite pas à s’acharner sur eux pour les mutiler. Elle est en transe lorsqu’elle croit apercevoir dans leurs yeux le regard désespéré du Roi des Juifs en train de hurler de douleur.
Bianco: La cinquantaine, comme à l’époque où Knight l’avait assassiné. Pantalon à pince brun. Chaussures noires cirées. Imperméable 3/4. Le col est remonté jusqu’à ses joues. Son visage est perclus de profondes rides et cicatrices indélébiles. Il porte des gants en cuir marron. Ses cheveux courts sont poivre et sel. Il garde toujours sa main gauche au fond de sa poche. Knight la lui avait prise lors d’un duel au sommet au Panama. Un colt python 6 coups entièrement noir dans l’autre main. Son visage est perlé de sueur. Pale, presque blanc, il halète bruyamment sous la barbe épaisse qu’il entretient soigneusement. Sans elle, Knight l’aurait reconnu du premier coup d’oeil. Sa voix est reconnaissable entre toute. Son fort accent latino siffle et teinte sa voix autoritaire d’une certaine suavité (douceur délicieuse et exquise). Knight sait qu’il n’en est rien. Bianco est un monstre sans pitié. Le monde se portait mieux sans lui. Que fait-il ici, vivant?! Bianco n’hésitera pas à assassiner sa famille.
« Oeil pour oeil, Knight! Je leur réserve le même sort. Tu m’as pris ceux qui m’étaient le plus chers, je traiterais ta famille avec la même compassion, salopard! »Clémence Brown: 44 ans. Brune. Taille moyenne. Vêtue d’un tailleur vert d’une marque de luxe. Ses cheveux ont beaucoup poussé depuis la dernière fois que Bishop l’a vue. Ils sont attachés, une longue natte pend dans son dos. Elle ne porte plus ses énormes lunettes à propos desquelles il aimait bien la taquiner. Elle porte à la main une sacoche en cuir marron. Autour du cou, elle porte un badge, preuve de son implication formelle avec l’Armée Noire.
L’un des ordinateurs contient les dossiers personnels du professeur Brown. Dans le grand bureau à droite du corps de la momie iakoute se trouve le portefeuille de Brown.
Bishop y découvre la photo d’un jeune garçon, glissée dans une pochette en plastique. Le garçon semble avoir plus ou moins une dizaine d’années; souriant, il sert fort dans ses bras Brown. Bishop ne peut pas le reconnaitre. De quelle couleur était les cheveux de votre fils? Tu repenses aux photos de familles minutieusement rangées dans l’album de tes parents. Il te ressemble lorsque tu avais le même âge, non? Il y a comme un air.
Quel était la nature du bijou que tu avais déposé dans son minuscule cercueil?
Sur le cliché, le jeune garçon porte ce même bijou.Il comprend immédiatement qu’il s’agit de son fils… Son fils n’est pas mort !
Révélation : LE VADE-MECUM EST HEREDITAIRE (Bishop 6) Bryan End: (vidéo surveillance à Gabriel Monntains) Surnommé KONETS, 27 ans. Mastodonte gigantesque. Origine asiatique (Mongoles). Ses cheveux habituellement ras et noirs comme l’ébène semblent avoir disparu. Sur la vidéo, il arbore un crâne chauve criblé de taches brunâtres. C’est une machine de guerre implacable. Fils spirituel de Knight. Officieusement, c’est lui qui a mené la traque et l’assassinat d’Oussama Ben Laden en 2011 au Pakistan. Knight le croyait actuellement déployé en opération noires en Syrie ou en Irak afin de préparer l’assaut contre l’Etat islamique. Preuve que l’Armée Noire est infiltré jusque dans les plus hautes sphères de l’armée. Livide et musculeux, son corps est sculpté pour le champ de bataille. Il ne parle jamais trop, excepté au combat pour intimider ou provoquer ses ennemis. Sur les enregistrements, toujours auprès de la Dame Noire, il est souvent pris de violentes quintes de toux. Bryan End, habituellement inébranlable, semble malade. La Reine Noire, par l’un de ses miracles, guérit une plaie sanguinolente sur le bras de Bryan End. Lui-même ne semblait pas avoir remarqué sa blessure malgré le filet de sang qui se répand derrière lui (en remontant la vidéo, on voit qu’il s’est coupé par inadvertance contre la porte métallique d’un placard du vestiaire)